Une bulle menace-t-elle les SCPI ? – Capital.fr

Share on facebook
Facebook
Share on twitter
Twitter
Share on linkedin
LinkedIn

Les prix de l’immobilier de bureaux vont-ils continuer à grimper ? Et le rendement des , dédiées à ce type d’investissement, pourront-ils se maintenir ? Même si certains des Français interrogés dans notre séquence “Paroles d’épargnants” estiment que la valeur des SCPI a sans doute grimpé trop haut, Sonia Fendler, la présidente d’Altixia, et Yann Videcoq, directeur des gestions chez Perial, tous deux invités de notre émission , se veulent rassurants. Pour eux, pas de bulle à craindre. Et les opportunités ne manquent pas pour investir la masse d’argent collectée (8,6 milliards d’euros rien que pour 2019). Quitte à parier sur d’autres pays que la France, comme l’Allemagne, ou sur d’autres types d’immeubles, tels que les hôtels et les entrepôts logistiques. Il reste même possible de faire de bonnes affaires avec les murs de magasins, pourtant concurrencés par le commerce en ligne. Cela ne doit pas empêcher l’épargnant de diversifier la mise, par exemple en mixant entre une SCPI spécialisée sur les murs de commerces, et une seconde, spécialisée sur les murs de bureaux.

Pour réussir son investissement, il faudra aussi , plutôt opaques. Ils atteignent en moyenne 12% à l’entrée, prélevés en une seule fois, et ensuite de 8 à 10% par an au titre de la gestion, prélevés sur les loyers. Dans notre séquence “Reportage”, vous découvrirez ainsi NEO, la première SCPI à ne prélever aucune commission de souscription. Comme l’explique David Seksig, directeur général en charge des gestions de Novaxia Investissement, la tarification de cette nouvelle SCPI, en dépit de frais de gestion plus élevés que la moyenne, est favorable à l’épargnant et permet d’obtenir une meilleure performance. A condition de rester investi au moins cinq ans, pour éviter des frais de sortie de 6% TTC.

Nul doute en tout cas que les SCPI profiteront de la baisse actuelle des Bourses mondiales effrayées par le coronavirus. Cet affolement des investisseurs constitue d’ailleurs le “Coup de gueule” de notre chroniqueur Pierre Sabatier, le président de Primeview. Pour cet économiste, les marchés réagissent à l’excès face à cette épidémie.

Enfin, vous retrouverez notre séquence “Ça vous concerne”, où les meilleurs professionnels du patrimoine donnent des réponses pratiques à vos questions. Nathalie Couzigou-Suhas, notaire à Paris, vous indiquera ainsi comment être certain de n’oublier aucun des comptes bancaires ou produits d’épargne censés vous revenir suite à une succession. Elle fera également le point sur , ce type de frais prélevés par le syndic dans le cadre d’une vente immobilière. De son côté, Charlotte Thameur, directrice conseil chez Yomoni, nous expliquera comment placer 5.000 euros d’épargne, sans prendre trop de risques. Et vous dira si la individuelle plutôt que collective constitue une bonne protection contre les modifications de son contrat par l’assureur, notamment en matière d’accès au fonds en euros.

Plus d'articles

Dossier Exclusif Covid-19

Comment protéger son épargne et ses investissements après la crise du Covid-19.

Dossier exclusif avec:

Comparez le rendement d'un livret A, et un investissement alternatif.

Une fiche de calcul simple pour évaluer le potentiel de rendement d’un investissement alternatif